Après des études à l’Académie des Beaux-Arts de Bruxelles où elle est née, Eve Calingaert devient journaliste par hasard. Elle collabore à une dizaine de journaux et magazines, textes et photos, pendant 14 ans.
Réalise deux court-métrages de fiction plusieurs fois primés en Belgique
et à l’étranger.
Contes de ma mère folle 1978.
S comme Séduire 1981.
Crée le 7ème Soir, premier supplément du week-end
du journal Le Soir et le dirige pendant huit années.
Ecrit sept pièces de théâtre:
A l’indicatif présent, 1994.
Les enfants seront vêtus de rouge, 1998: donnée en lecture
au Théâtre des Martyrs.
Demain, c’est le printemps, 2002, nominée au prix du Parlement de la Communauté Française et édité chez Lansman en 2005. Jouée au Festival de Spa dans une mise en scène d’Armand Delcampe avec Alexandre von Sivers, puis jouée au Jean Vilar à LLN et chez Claude Volter à Bruxelles, suivie d’une tournée dans tout le pays. La pièce a tenu l’affiche en Belgique pendant trois ans.
On a toujours le choix, 2005, nomination au prix de l’Union des Artistes du Spectacle en 2013. Donnée en lecture à l’Atelier 210 en 2013.
N’écoutez pas les grenouilles, 2007, donnée en lecture au Festival de Spa en 2009, nominée au Prix du Parlement de la Communauté Française en 2010.
Jonas chez les Indiens, pièce pour enfants.
Les Vierges, pièce écrite avec Micheline Hardy.
Réalise deux carnets de voyage et deux livres pour les éditions Tandem :
Shanghaï express 2006.
Kyoto, avant-goût 2012.
Conversation entre la main gauche et la main droite 2016.
Conversation avec L’Ecuyer 2018.
Ecrit deux nouvelles illustrées par Roger Dewint pour les éditions Quadri 2019.
Reprend le pinceau en 2001, pratique la gestuelle abstraite de la main gauche
et la calligraphie japonaise de la main droite.
Expose à l’Abbaye de Forest avec le groupe Bus 54.
Galerie Faider avec le sculpteur Rainer Gross en 2010.
En solo:
Inouïttoosh, rue Darwin, en 2015.
Peinture fraîche et Galerie Gaëtane Duez en 2016.
Chapelle de Boondael en 2021.
